24 avril 2010
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22:13
grand amateurs du Comics, ce n'etait pas l'envie d'aller voir Kick-Ass au ciné qui me manquait, et ce malgré les quelques teasers un peu trop inspiré au niveau humouriste.
une petite peur qui ne pouvait s'effacer que devant le fait accompli..
et finalement, le film se coupe en 2 parties distinctes :
une petite peur qui ne pouvait s'effacer que devant le fait accompli..
et finalement, le film se coupe en 2 parties distinctes :
le traitement du mythe du super heros est laché, dans Kick-Ass on vit un hommage direct aux univers Comics suffisament referencé (dans les dialogues ou dans les ellipse de temps par exemple) en choisissant une vision un peu outranciere, on rit beaucoup au debut.. pourtant les bases dramatique sont déjà presente.
Dave est un adolescent comme les autres, n'est pas populaire et reve de devenir un super heros .
mais dans la realité personne n'a de super pouvoirs..
son trip l'embarquera dans un monde de violence progressive (à son encontre surtout ^^); il y rencontrera Hit Girl et Big Daddy qui suivent le même chemin mais de façon plus.. maitrisé.
Dave est un adolescent comme les autres, n'est pas populaire et reve de devenir un super heros .
mais dans la realité personne n'a de super pouvoirs..
son trip l'embarquera dans un monde de violence progressive (à son encontre surtout ^^); il y rencontrera Hit Girl et Big Daddy qui suivent le même chemin mais de façon plus.. maitrisé.
attention ! ce qui suit devoile les moments important du film, esquivez du regard si vous ne desirez pas vous faire spoiler !
la 1 ere partie n'est pas vraiment dans le propos, trop comique, peu reflextif et trop edulcoré par rapport à la base :
normalement dans le Comics, Dave se fait broyer et l'on voit/vit ses mois de depression sur le lit d'hopital, ici trop vite expedié en une ellipse de temps..
à sa 1ere vrai bagarre ou il obtient son statut de "heros", il saigne, se fait dechirer dans le vrai sens du terme et en profite pour en faire autant avec la machoire d'un de ses ennemis dans l'action.
en bref c'est glauque, violent et surtout pas rigolo..
même si la thematique permet quelques parentheses autour de ça.
puis dans le film intervient Nicolas Cage, qui cabotine, ce qui peut parfois donner l'impression aux spectateur d'assister à un episode la serie 70's de Batman lors du debriefing dans la chambre de Kick Ass..
pardonné rapidement par une Hit Girl en veritable machine de guerre.
normalement dans le Comics, Dave se fait broyer et l'on voit/vit ses mois de depression sur le lit d'hopital, ici trop vite expedié en une ellipse de temps..
à sa 1ere vrai bagarre ou il obtient son statut de "heros", il saigne, se fait dechirer dans le vrai sens du terme et en profite pour en faire autant avec la machoire d'un de ses ennemis dans l'action.
en bref c'est glauque, violent et surtout pas rigolo..
même si la thematique permet quelques parentheses autour de ça.
puis dans le film intervient Nicolas Cage, qui cabotine, ce qui peut parfois donner l'impression aux spectateur d'assister à un episode la serie 70's de Batman lors du debriefing dans la chambre de Kick Ass..
pardonné rapidement par une Hit Girl en veritable machine de guerre.
mais la vraie souffrance c'est celle de Red Myst..
hors un costume tape à l'oeil poussant l'image gaudriolle un peu plus, entendre le fils devoilant son plan à son pere (le parrain/mafiosi), et cassant toute la surprise que le Comics instaure quand Kick Ass et le lecteurs decouvrent ensemble qu'il les piege.
vraiment incomprehensible ça.
là ou residait un twist, il ne reste rien.
par contre...
la 2eme partie, à partir du moment ou Big Daddy montre sa determination en egorgeant et detruisant la base des sbires, là c'est pas pareil :
l'ascension devient soudainement jouissive !
on commence à sentir tout le dramatisme des situations enfin.
quand Big Daddy brule, ça a l'air douloureux.. et c'est triste.
quand Hit Girl defourraille c'est brutal et vengeur !
quand Kick Ass intervient on comprend sa faiblesse.
et mention speciale aux scores du film (un peu tiré de çi et là avec son theme "28 Days Later") qui collent et rythment superbement les sequences d'actions.
bizarre d'ailleurs cette façon de faire des gags sanglant (le micro onde par exemple) mais de ne pas les restituer dans les 1ers cassage de bouche de Kick Ass.
à oublier des pans scenaristique ou à les transformer (la valise de Comics de Big Daddy et sa dramaturgie de fanboys nevrosé)
ou de vouloir à tout prix instaurer une dimension comique, celle çi efface l'intrigue de depart, qui heureusement est restitué sur la fin.
donc..
on rit des gags et de quelques punchlines alors que l'on devrait du cynisme penetrant qui se degage du materiau d'origine.
et dans la même veine, c'est tout autant dommage de faire de Hit Girl, une petite fille plus enjoué qu'elle ne le devrait..
l'adaptation de Kick-Ass est assez maladroite en esquivant au debut tout ce qui fait la force du comics (pathetisme, depressif et violence psychologique), le film tend à faire croire à un teen movies concon mais se rattrape sur la moitié du film en exposant le propos de façon plus claire et brute.
un peu dommage quand même de ne pas avoir demarré directement comme ça.
hors un costume tape à l'oeil poussant l'image gaudriolle un peu plus, entendre le fils devoilant son plan à son pere (le parrain/mafiosi), et cassant toute la surprise que le Comics instaure quand Kick Ass et le lecteurs decouvrent ensemble qu'il les piege.
vraiment incomprehensible ça.
là ou residait un twist, il ne reste rien.
par contre...
la 2eme partie, à partir du moment ou Big Daddy montre sa determination en egorgeant et detruisant la base des sbires, là c'est pas pareil :
l'ascension devient soudainement jouissive !
on commence à sentir tout le dramatisme des situations enfin.
quand Big Daddy brule, ça a l'air douloureux.. et c'est triste.
quand Hit Girl defourraille c'est brutal et vengeur !
quand Kick Ass intervient on comprend sa faiblesse.
et mention speciale aux scores du film (un peu tiré de çi et là avec son theme "28 Days Later") qui collent et rythment superbement les sequences d'actions.
bizarre d'ailleurs cette façon de faire des gags sanglant (le micro onde par exemple) mais de ne pas les restituer dans les 1ers cassage de bouche de Kick Ass.
à oublier des pans scenaristique ou à les transformer (la valise de Comics de Big Daddy et sa dramaturgie de fanboys nevrosé)
ou de vouloir à tout prix instaurer une dimension comique, celle çi efface l'intrigue de depart, qui heureusement est restitué sur la fin.
donc..
on rit des gags et de quelques punchlines alors que l'on devrait du cynisme penetrant qui se degage du materiau d'origine.
et dans la même veine, c'est tout autant dommage de faire de Hit Girl, une petite fille plus enjoué qu'elle ne le devrait..
l'adaptation de Kick-Ass est assez maladroite en esquivant au debut tout ce qui fait la force du comics (pathetisme, depressif et violence psychologique), le film tend à faire croire à un teen movies concon mais se rattrape sur la moitié du film en exposant le propos de façon plus claire et brute.
un peu dommage quand même de ne pas avoir demarré directement comme ça.
P.S :
sur le mur de Big Daddy, des tas de dessins (dont ceux de Romita Jr) et celui du barbu en noir et blanc.. ben c'est Big Daddy himself dans le Comics.
ça a quand même plus de gueule et l'air dur que Nicolas Cage, non ?
Published by Linsky qui attend toujours et encore l'adaptation parfaite..
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dans
Pas de PopCorn pendant la seance !
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